The Sound of Silence

Eh bien non, je ne suis pas encore mourute, on ne se débarrasse pas de moi aussi facilement.

Même si le FAI le plus "libre" a tenté de me claquer le beignet en me coupant le débit (une erreur de branchement soi-disant), je suis de nouveau parmi vous, avec mon nouveau frigo fraîchement livré hier...

Ça fait du bien de retrouver ses petites affaires, son bazar si familier, et donner quelques coups de torchon là où les araignées avaient commencé à tisser leur toile...

Je vais pouvoir encore vous saouler en vous répétant une fois encore que mon boulot me sort par les trous de nez... En fait c'est surtout l'organisation (la désorganisation organisée plutôt) du travail et les petits chefs qui me gonflent.
J'en ai marre qu'on m'aboie dessus, qu'on me bombarde de messages directifs plus contradictoires les uns que les autres (tu avances tu recules...) et qu'on me raccroche au nez quand je dis "euh... non" parce que "ça suffit à la fin non mais oh !" Tout ça pour 1100 euros net par mois.
C'est un cap difficile à passer, je sais. Un cap qui a tendance à s'éterniser.
Alors je serre les dents, j'encaisse, je rentre la tête dans les épaules et tends l'autre joue, parce que "ailleurs c'est pire" il paraît.

Alors quand ça va pas, je m'écoute ça en boucle :


Simon & Garfunkel - The Sound of Silence
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Ma question c'est : jusqu'à quand je vais tenir ?

Eh dites du soir, espoir :
Aujourd'hui, c'est mon 1000ème jour de bloguage intensif, alors ça se fête : champagne virtuel 2.0 pour tout le monde !