Boire mon café le matin en me disant qu'
On n'est pas grand chose sur Terre
Ne pas regretter le passé
Ne pas m'apitoyer sur mon sort
Et me dire que la vie continue malgré tout.
Fragile
Et forte à la fois, je
Traîne ma carapace
Et mes secrets.
Mi orpheline, mi amnésique
Avec mes bouts de puzzle en moins et
Mes souvenirs de gruyère...
Avec le temps ton visage s'efface peu à peu mais la douleur
Ne disparaît pas.
dimanche 28 mai 2006
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